Les groupes

Peu importe leur rapport à la magie, ceux-là sont contre l'union magique. Soit opposés à la magie pour ceux qui n'ont pas de pouvoirs, dégoûtée par elle. Soit écoeurés à l'idée de vivre au milieu des Trites et de devoir partager leur monde avec des gens si simples. A Inverness, ils n'ont pas trop leur mot à dire puisque l'opinion populaire veut que les sorciers soient bien intégrés. Aussi ne sont-ils pas dans l'extrême, mais ils sont là et aimeraient bien le faire savoir.

Qu'ils possèdent ou non des pouvoirs, ils ne se posent pas trop de question. Souvent, le mode de vie d'Inverness est le leur depuis toujours et ils ont intégrés l'idée de cohabiter entre sorciers et Trites. Ils vivent leur vie simplement, sont amis avec tout le monde sans exception de nature et se fichent bien de savoir si leur voisin va au coven ou pas.

Ces personnes, dotées de pouvoirs ou non, sont très intéressés par la nature opposée à la leur. Il ne sera pas rare de voir des Trites acheter des potions ou lever les yeux au ciel ébahis à la vue d'un balai. Tandis que les sorciers curieux, sont ravis de pouvoir vivre au contact des Trites, de pouvoir vivre parmi eux. Ils leurs posent des questions et sont toujours enthousiastes de pouvoir partager leur mode de vie.

Ceux là sont généralement des Trites ou des Ceàarr, jaloux des pouvoirs des Draoidh, ils aimeraient accéder à la magie, malgré la dangerosité qu'elle représente pour eux. Ils s'entrainent souvent à la magie dans leur coin, s'essayant à la magie divinatoire ou des symboles, jalousement gardée par les familles de Draoidh. Bien que ce soit assez rare, il arrive que des Draoidh et des Thuit d'un certain âge soient dans un état d'esprit similaire. Regrettant d'avoir choisi la magie ou de l'avoir refusée, ils aimeraient faire marche arrière pour vivre une vie différente. Dans tous cas, les gens de ce groupe ne sont pas satisfaits de ce qu'ils ont.

Le nom celte des sorciers, qu'importe le nombre de sorciers dans leur famille. Ils sont capables d'utiliser la magie, descendent de parents sorciers et appartiennent au Coven dans lequel ils sont rentrés à l'âge de treize ans.

Draoidhs descendants généralement de vieilles familles magiques. Il n'y a pas de Trite parmi eux et les mariages sont parfois arrangés pour que le sang reste sorcier. Ces familles sont assez conservatrices et il est assez mal vu de refuser de rejoindre le coven ou d'avoir un enfant qui n'a pas de pouvoir. Pour autant, ce sont des familles très bien intégrées puisqu'elles sont à la base de l'entente entre les habitants de Inverness et les sorciers. De nos jours, les familles Oighres sont de moins en moins nombreuses, surtout qu'à Inverness il n'est pas rare d'avoir des enfants avec des personnes sans pouvoirs. Vous pouvez retrouver les familles de descendants ici.

Draoidhs nés d'une union entre un sorcier et une personne sans pouvoir. Ils sont également liés au coven lorsqu'ils acceptent leurs pouvoirs à treize ans. S'ils sont assez mal vus dans le reste du monde, à Inverness ils sont acceptés comme les autres sorciers.

Initialement Draoidhs issus d'une famille de descendants ou d'une union mixte, dans tous les cas, ils n'ont pas développé de pouvoir, ce qui fait d'eux des Ceàarrs. En général, leur famille attend avec impatience de voir la magie apparaître chez leur enfant, jusqu'aux épreuves initiatiques à leur treize ans qui dévoilent l'absence de magie chez eux.

Draoidhs issus d'une famille de descendants ou d'une union mixte, dans tous les cas, ils ont refusés leurs pouvoirs à l'âge de treize ans. Désormais ils n'ont accès qu'à la magie primaire. Ils n'appartiennent pas au coven, mais il leur est en réalité toujours ouvert s'ils sont en difficultés. Ils peuvent préparer des potions, voler à balai, faire des incantations, mais ne peuvent pas se servir de leur don qui a été réprimé par la suprême.

Humains sans pouvoir, issus de famille sans ascendance sorcière, ils sont gardiens du secret à Inverness. Ils peuvent grâce à ce dernier côtoyer les Draoidhs et même les épouser et fonder une famille avec eux.